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De James à Diouf : Les 10 pires transferts de Coupe du monde de tous les temps

De James à Diouf : les 10 pires transferts de Coupe du monde de tous les temps

La Coupe du monde offre aux joueurs une chance de se mettre en vitrine, surtout s'ils jouent pour certains de les petites lumières du jeu au niveau du club. Mais méfiez-vous des joueurs vedettes des tournois de la finale…

Pour chaque Mesut Ozil ou Sami Khedira – qui ont été transférés au Real Madrid par des équipes de Bundesliga de niveau intermédiaire après avoir joué avec l'Allemagne lors de la Coupe du monde 2010 avant de s'épanouir dans leur nouveau club – il y a un El-Hadji Diouf qui, eh bien, n'a pas .

Saxo Bank a récemment publié un rapport qui souligne qu'une Coupe du Monde réussie peut augmenter la valeur de transfert d'un joueur jusqu'à 300 %, et les clubs ont payé le gros prix pour de supposées « stars » internationales au fil des ans , dont beaucoup ont ensuite échoué.

Football Transfers examine 10 des pires coupables…

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El-Hadji Diouf – Lens à Liverpool pour 15 millions d'euros en 2002

Liverpool a annoncé la signature d'El Hadji-Diouf en provenance de Lens le lendemain du jour où il a aidé le Sénégal à surprendre la France, championne en titre, lors du match d'ouverture de l'édition 2002 au Japon et en Corée du Sud avant d'atteindre les quarts de finale.

Diouf a récolté trois passes décisives en cinq matchs à la Coupe du monde, et un doublé lors de son deuxième départ en Premier League augurait bien, mais sa carrière chez les Reds s'est rapidement essoufflée et il a été vendu à Bolton pour une énorme perte deux ans plus tard.

< p>El-Hadji Diouf a joué pour le Sénégal alors qu'il battait la France, championne en titre, sur le chemin des quarts de finale de l'édition 2002 au Japon et en Corée du Sud.

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Salif Diao – Sedan à Liverpool pour 7,5 millions d'euros en 2002

Diao était une figure centrale de cette équipe sénégalaise qui a choqué la France en 2002, et cela a en partie contribué à lui faire quitter Sedan en France. Il a en fait été signé par le club juste avant la compétition, mais sa réputation a été considérablement renforcée par ses performances au Japon et en Corée du Sud, malgré un carton rouge contre le Danemark.

Il était généralement milieu de terrain mais était souvent utilisé en défense à Liverpool, et il avait l'air d'un joueur qui ne figurait pas dans son rôle correct. Il a en fait réussi à survivre plus de quatre ans à Anfield avant d'être prêté à Stoke, où il a ensuite déménagé définitivement.

James Rodriguez – Monaco au Real Madrid 75 millions d'euros en 2014

De James à Diouf : les 10 pires transferts de Coupe du monde de tous les temps

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James Rodriguez, Real Madrid

James Rodriguez n'était certainement pas un inconnu lorsqu'il a signé pour le Real Madrid en provenance de Monaco à l'été 2014. En effet, 12 mois plus tôt, il avait stupéfié le monde du football en s'installant dans la principauté de Porto pour 45 millions d'euros.

C'est la Coupe du monde, cependant, qui a vraiment contribué à améliorer sa réputation. Pendant la compétition, il a ouvertement flirté avec le Real Madrid et a effectué un déménagement peu de temps après la compétition.

Il a été accueilli par 45 000 fans lors de sa présentation mais le battage médiatique ne serait jamais vraiment justifié, même s'il a certainement joué une très belle première saison. À partir de là, cependant, tout s'est dégradé et il est ensuite devenu une figure nomade, se tournant pour le Bayern Munich, Everton, Al-Rayyan et maintenant l'Olympiacos.

Denilson – Sao Paulo au Real Betis pour 24,7 millions d'euros en 1998

Il serait inouï pour le Real Betis de commander les plus grosses dépenses de transfert de l'histoire du football, mais en 1998, c'était le cas alors qu'ils pillaient Denilson de Sao Paulo après la Coupe du monde en France.

Bien qu'il ait continué à jouer près de 200 fois pour le Betis, il a eu du mal à justifier ses dépenses, ne marquant que 14 fois pour le club avant de partir en 2005. Au cours de cette période, Los Beticos ont même été relégués, bien que Denilson se vantait encore d'avoir suffisamment d'influence pour faire partie de l'équipe vainqueur de la Coupe du monde 2002.

Kleberson – Paranaense à Man Utd pour 8,6 millions d'euros en 2003

Kleberson a été désigné comme le catalyseur du succès du Brésil en Coupe du monde en 2002 par Luiz Felipe Scolari , et c'est à la suite de cette performance que Manchester United a signé Kleberson en 2003.

Il a eu du mal à s'adapter à la vie en Europe et ne fera que 20 apparitions pour les Red Devils avant d'être transféré à Besiktas. Sa carrière a été une spirale descendante à partir de ce moment. Il est rapidement retourné au Brésil tandis que sa carrière s'est finalement terminée dans les bas-fonds du football américain en 2016 avec les Fort Lauderdale Strikers.

Robert Jarni – Betis au Real Madrid, via Coventry pour 3,9 millions d'euros en 1998

Robert Jarni était l'un des joueurs vedettes de l'équipe croate qui a fait sensation en demi-finale en 1998 avant d'être éliminé par la France à 10. Il était déjà une star bien établie à ce moment-là et avait 30 ans, mais un déménagement à Coventry semblait signaler que sa carrière au niveau du club touchait à sa fin.

Ce n'est pas le cas, car le Real Madrid s'est empressé de signer lui avant même qu'il ait botté un ballon pour l'équipe anglaise. Sans surprise, Jarni n'a pas pu retrouver sa forme en Coupe du monde et a passé une grande partie de son temps sur le banc de Bernabeu avant de rejoindre Las Palmas de la division Segunda après une saison.

David Odonkor – de Dortmund au Betis pour 6,5 M€ en 2006

L'ailier David Odonkor était l'un des grands espoirs du football allemand au milieu des années 2000 et semblait suggérer qu'il était destiné au sommet avec des performances brillantes lors de la Coupe du monde 2006, que le pays a accueillie.

Le Betis a été convenablement impressionné par l'ailier vif-argent et a pris un botté de dégagement sur lui, le signant pour 6,5 millions d'euros. Il s'est avéré que l'argent était mal dépensé. La carrière d'Odonkor a été en proie à des problèmes physiques et il n'a disputé que 51 apparitions en championnat en cinq ans avant de passer aux parties inférieures du jeu allemand.

Javier Margas – Universidad Catolica à West Ham pour 2,3 millions d'euros en 1998

Il est révélateur que ce qui est entré dans l'histoire de West Ham à propos de Javier Margas est une citation de l'ancien manager Harry Redknapp à propos de sa disparition.

« Sa femme détestait ça, elle avait une grande famille à la maison, elle pleurait », se souvient Redknapp.

« Soudain, il ne s'est pas présenté à l'entraînement un jour et quelqu'un a dit que sa femme était rentrée chez elle et qu'il séjournait à l'hôtel Swallow. Alors nous sommes allés le voir et quelqu'un a dit qu'il allait peut-être rentrer chez lui, et nous avons dit : « Il ne peut pas, il a un contrat ici, nous l'avons acheté ! »

« Il avait laissé la moitié son équipement là-bas, la fenêtre était ouverte, il était au premier étage, il a manifestement pris ce dont il avait besoin, a sauté par la fenêtre et s'est débarrassé de lui ! »

Margas a impressionné par une forte équipe chilienne à France 98 et semble avoir bien fait de durer aussi longtemps qu'il l'a fait à West Ham avant de partir AWOL et de terminer sa carrière.

Asamoah Gyan – de Rennes à Sunderland pour 16 millions d'euros en 2010

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De James à Diouf : les 10 pires transferts de Coupe du monde de tous les temps

Asamoah Gyan (à gauche) jouant pour le Ghana contre l'Allemagne à la Coupe du monde 2014

Asamoah Gyan était l'un des meilleurs joueurs de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Il a attiré l'attention de Sunderland, qui l'a signé pour une somme importante de l'équipe de Ligue 1 de Rennes, où il avait joué avec un succès modeste au cours des deux saisons précédentes.

Il a fait un poing décent en jouant en Premier League, atteignant deux chiffres lors de sa première et unique saison complète, mais il est parti un an plus tard à Al-Ain avec Sunderland soulignant les «avantages financiers» du déménagement.

Stéphane Guivarc'h – Auxerre à Newcastle pour 4 millions d'euros en 1998

Stéphane Guivarc'h est sans aucun doute le membre le moins mémorable de la France vainqueur de la Coupe du monde équipe en 1998. Il a mené la ligne pour Les Bleus, jouant un rôle professionnel mais ne marquant jamais. En effet, il n'aurait marqué qu'une seule fois pour son pays.

Après avoir été vainqueur de la Coupe du monde – plus deux saisons successives de plus de 20 buts en France avec Rennes et Auxerre – il a déménagé en Premier League Newcastle avec une réputation curieusement grande. Sans surprise, il a été rapidement transféré aux Rangers en Écosse. Un an après avoir quitté l'AJA, il était de retour en France avec le même club, après avoir échoué en Grande-Bretagne.

Andreas Isaksson – de Rennes à Man City pour 3 millions d'euros en 2006

Andreas Isaksson a remporté plus de 100 sélections pour la Suède et a été leur gardien de but de premier choix en 2006, lorsqu'ils sont allés à la Coupe du monde en Allemagne. À cette époque, il jouait avec Rennes, mais trois bonnes performances avec son équipe nationale ont suffi à persuader Man City de bouger.

Les Cityzens n'étaient pas alors la puissance financière qu'ils sont aujourd'hui, alors pour obtenir seulement 19 apparitions en championnat du gardien a été une déception. Il est passé à autre chose et a remporté du succès au PSV et à Kasimpasa.

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